news
ALBERT HIRSCHMAN CENTRE ON DEMOCRACY
26 October 2021

The Research at the Albert Hirschman Centre on Democracy podcast series explores civic technologies in Geneva

Jérôme Duberry continues his exploration of of civic-tech during the second part of this conversation with Christopher Larraz


--- en Français ci-dessous --- 
 

This new episode of the Research at the Albert Hirschman Centre on Democracy (RAHCD) podcast continues the conversation on civic technologies for a second part to our miniseries on civic tech and democratic participation. Jerôme Duberry, Associate Researcher at the Albert Hirschman Centre on Democracy, has been focusing his research on digital technologies and collaborative governance for many years. In this episode (in French), Jerôme continues his conversation with Christopher Larraz, technologies and innovation advisor for the state of Geneva.

The recent rise in civic activism and public engagement in various countries has been tied with the digital age, and social media in particular. Activists have taken advantage of these technologies to foster engagement and social impact. These technologies have also gradually been used by governmental institutions, in particular at the local level. In Geneva, the public sector has embraced them as a tool for citizen participation and empowerment. Can these innovations empower voters and lead to a more open governance? Are they in danger of discriminating against certain local communities if transparency is lacking? These questions serve as a thread to the conversation between Jérôme Duberry and Chrstopher Larraz.

They argue that civic technologies may enable new channels of consultation, exchange, communication, and information, strengthen partnerships for a truly participatory government. Yet they require an open data approach from public officials and government agencies if they are to enlist the population in this digital transformation. This data-driven civic participation also calls for some form of risk management and oversight. Public engagement requires fostering trust from voters.

Stay tuned for future parts of this series concerning the real world experiences with civic-tech, and how other countries have adopted the practices.

And subscribe to the podcast to receive all the latest conversations on research at the Albert Hirschman Centre on Democracy.

Ce nouvel épisode du podcast Recherche au Centre Albert Hirschman sur la Démocratie (RAHCD) poursuit la conversation sur les technologies civiques pour une deuxième partie de notre mini-série sur les technologies civiques et la participation démocratique.

Jerôme Duberry, chercheur associé au Centre Albert Hirschman sur la démocratie, concentre ses recherches sur les technologies numériques et la gouvernance collaborative depuis de nombreuses années. Dans cet épisode, il poursuit sa conversation avec Christopher Larraz, conseiller en technologies et innovation de l'Etat de Genève. 

L’activisme et l'engagement public dans divers pays s’est largement développé ces dernières années, en partie grâce au développement des réseaux sociaux. Les activistes ont tiré parti de ces technologies pour s'engager et avoir un impact social. Ces technologies ont peu à peu aussi été utilisées par les cercles gouvernementaux et les administrations locales en particulier. A Genève, le secteur public les a adoptées comme outil de participation et d'autonomisation des citoyens. Ces innovations peuvent-elles donner du pouvoir aux électeurs et conduire à une gouvernance plus ouverte ? Risquent-elles de discriminer certaines communautés locales si la transparence fait défaut ? Ces questions servent de fil rouge dans la conversation entre Jérôme Duberry et Christopher Larraz.

Leur échange montre que cette participation civique axée sur les données nécessite un certain degré de gestion des risques et de surveillance. L'engagement public exige de susciter la confiance des électeurs. Ces technologies peuvent permettre de nouveaux canaux de consultation, d'échange, de communication et d'information, et renforcer les partenariats pour un gouvernement véritablement participatif. Pourtant, elles nécessitent une approche d'ouverture des données de la part des responsables publics et des agences gouvernementales s'ils souhaitent convaincre la population dans cette transformation numérique. 


Restez à l'écoute pour les prochains épisodes de cette minisérie sur les technologies civiques et la manière dont d'autres pays et administrations locales ont adopté ces pratiques. 

Et abonnez-vous au podcast pour recevoir toutes les dernières conversations sur les recherches menées au Centre Albert Hirschman sur la démocratie.