news
Anthropology and sociology
08 September 2017

Le pèlerinage sur les lieux saints de l’Irak en images

Fariba Adelkhah (Sciences Po-CERI) et Shahideh Noorolahian Mohajer (ENS) ont publié un nouvel article intitulé 'Deuil et gloire de l’imam Hossein: Le pèlerinage sur les lieux saints de l’Irak en images' avec le soutien de notre professeur Jean-Franc̜ois Bayart et Yves Oltramare Chair.

'On parle volontiers d’un « arc chiite » à propos des relations entre la République islamique d’Iran et l’Irak, depuis le renversement de Saddam Hussein, en 2003, un « arc chiite » (ou un axe chiite, que dominerait Téhéran ?) auquel se rattacheraient les minorités de cette obédience dans la région, du Pakistan et de l’Afghanistan au Liban en passant par l’Arabie saoudite, le Yémen et Bahreïn. Mais pour comprendre les échanges et les alliances qui se développent à cette échelle, ne vaudrait-il pas mieux privilégier la problématique de l’« histoire connectée », empruntée à Sanjay Subrahmanyam, qui dégage les liens concrets, circonstanciels, fragmentaires, hétérogènes entre des sociétés différentes, plutôt que celle, un peu « complotiste », de la manipulation des chiites par la République islamique ?' 

  • Plus d'information





 

Fariba Adelkhah (Sciences Po-CERI) et Shahideh Noorolahian Mohajer (ENS) ont publié un nouvel article intitulé 'Deuil et gloire de l’imam Hossein: Le pèlerinage sur les lieux saints de l’Irak en images' avec le soutien de notre professeur Jean-Franc̜ois Bayart et Yves Oltramare Chair.

'On parle volontiers d’un « arc chiite » à propos des relations entre la République islamique d’Iran et l’Irak, depuis le renversement de Saddam Hussein, en 2003, un « arc chiite » (ou un axe chiite, que dominerait Téhéran ?) auquel se rattacheraient les minorités de cette obédience dans la région, du Pakistan et de l’Afghanistan au Liban en passant par l’Arabie saoudite, le Yémen et Bahreïn. Mais pour comprendre les échanges et les alliances qui se développent à cette échelle, ne vaudrait-il pas mieux privilégier la problématique de l’« histoire connectée », empruntée à Sanjay Subrahmanyam, qui dégage les liens concrets, circonstanciels, fragmentaires, hétérogènes entre des sociétés différentes, plutôt que celle, un peu « complotiste », de la manipulation des chiites par la République islamique ?'